Le potiron victime d'incompréhension, titre. En dessous j'écris poème pour que les gens savent bien. L'étal est terne. Il n'y a personne à la maison, parole de personne. Le niveau baisse, avant les gens sortaient savants de lire et tout, et maintenant c'est au sol avec des miroirs sans alouettes. Les gens de confiance m'ont dit qu'on ne sait plus désapprendre et qu'on supose mourir. Je vous le dis parce que sans ça la soupe, allez voir. Je parles aux courbes, aux bourgettes, aux morts nichons sur le front. C'est bon j'ai fait mon temps et j'ai pourri du dedans mais c'est comme ça que ça se mange et c'est comme ça que c'est bon. On m'a mis là avec la pointe et l'écriteau, ce que je vaux. Je m'y remettrai très tard, le marchand m'a fait glisser de la pile, dubiteux tassé légume de fond de tiroir, intraduisible, orange croûteux comme du gélatineux figé, je viens d'un pays d'où je n'ai pas su naître et l'on m'a fait des kilomètres. Après ça répète d'avant et c'est la fin du poème, on reprend le sommeil de là où on le cherchait.
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